jeudi 4 octobre 2012

Point Frayeur n°2


Ou comment les araignées ont une affinité pour moi !



Afin de prévenir tous risques de crise cardiaque, je conseille vivement à tout arachnophobe de ne pas lire ce post. Ce conseil s'adresse à toi, Gargouilles, mais je pense que d'autres personnes pourraient vouloir le prendre en compte. 
A l'origine, j'avais un autre post en tête. Vous l'aurez demain, pour le coup.


Donc, ce matin, réveil normal quoiqu'un peu difficile car il y avait plein de loup-garous dans mes rêves cette nuit. Profitant d'entendre toutes les filles devant la Tv et donc réveillées, je reste un peu sous la couette, histoire d'être au chaud encore quelques minutes. Puis machinalement, je tourne la tête vers le mur de ma porte et là, plus vite qu'une Ferrari au démarrage, je me replonge sous la couette. Imaginez -moi ensuite la ressortir millimètres par millimètres pour fixer la traitresse. 



Une grosse araignée bien noire, une nouvelle fois, avec, en plus de cela, de "Very Big Fangs", dixit la Petite. C'est à dire, de très gros crocs. Sympa, comme réveil. En tout cas, je prends mon courage à deux mains et je m'arme d'un plumeau et d'un verre. Ma Host a encore besoin de dormir et à 7h20 le matin, je n'ai spécialement envie d'entendre le son de l'aspirateur.
Quoi qu'il en soit, il me faut 5 essais avant de toucher "pour de vrai" l'araignée et la faire tomber par terre. Evidemment, une fois à terre, elle prend ces jambes à son cou et se met à courir dans tous les sens. J'ignore toujours comment, mais je parviens à la capturer, grâce au verre, avant qu'elle n'aille faire un tour dans mes chaussures. 
Et là, je reste suspendue au pied du verre, me demandant ce que je pourrais bien en faire. Hermione me vient finalement en aide et avec nos efforts combinés, nous parvenons à la jeter dehors. Pas que cela me rassure vraiment, mais au moins, elle n'est plus dans la maison.

Il faut savoir que même à travers le verre, j'en avait peur.
Alors je ne me suis pas trop approché. 

On ne voit pas les crocs, mais comme dit plus haut,
elle m'effrayait même à travers la verre. En plus
c'est qu'elle était rapide, cette bourrique.

































Cet épisode m'en a rappelé un autre, où par une sombre nuit, en France, un soir que j'avais laissé des sacs plastiques au sol, une araignée du même gabarit s'était amusée à marcher dans les sacs, faisant des bruits pour le moins très inquiétants, car à cette époque, je n'avais pas encore de chats. Et quand on entend des sacs plastiques bouger la nuit, sans raison apparente, eh bien cela fout les jetons...


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